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Microsoft Azure, l’excellence opérationnelle en cas d’incidents

 

La réussite d’une solution ne se résume pas à ses fonctionnalités disponibles. Dans notre environnement connecté, la qualité du service internet est un enjeu crucial. Une indisponibilité – même temporaire – de ces services à des conséquences sur la réputation et l’image de l’entreprise. Mais le risque zéro n’existe pas. Il s’agit donc pour l’entreprise de miser également sur des solutions qui tiennent compte du Recovery Time Objective (RTO), c’est-à-dire la durée maximale d’interruption admissible d’une ressource informatique.

Le RTO est défini à l’avance. Et ce, en fonction des besoins de production de l’entreprise. Cette durée maximale et acceptable pendant laquelle un serveur, le réseau, un ordinateur ou une application ne sont plus fonctionnels dépend du niveau critique de la panne. Prenons l’exemple d’une PME qui utilise un logiciel de gestion d’entreprise pour sa production. En cas de panne de cet ERP, la production cesse. L’entreprise se met en danger. Dans ce cas de figure, le RTO devra être extrêmement court. A l’inverse, le RTO d’une application de messagerie instantanée pourra lui être beaucoup plus long, puisque ce n’est pas une application critique.

Définir un plan de reprise des activités

En cas de panne, l’entreprise doit prendre en compte un autre facteur tout aussi crucial. C’est le RPO ou Recovery Point Objective. Il s’agit de la durée maximum d’enregistrement des données qu’il est acceptable de perdre lors d’une panne. Le fait de quantifier le RPO définit en fait les objectifs de sauvegarde, ce qui demande de connaître la volumétrie et les fenêtres de sauvegarde. En cas d’incident, les entreprises prévoyantes mettent en place un Plan de Reprise d’Activité qui permet de formaliser des processus pour assurer la reprise des activités que ce soit d’un point de vue logistique, humain, ou encore informatique.

C’est dans ce contexte informatique que la définition du RTO et du RPO permet de planifier les actions à mener en cas de sinistre, mais aussi et surtout d’adopter une stratégie d’investissement informatique en vue d’une situation catastrophique. Dans ces problématiques, les solutions de Microsoft Azure permettent une facilité d’accès à des fonctionnalités disponible selon les besoins de l’entreprise Par exemple des back-up automatiques, la création d’un environnement complet par code, l’ajout et la diminution de ressources automatiques en temps réel selon la demande ou encore l’alarme et l’automatisation de réactions. Cette flexibilité d’Azure permet ainsi à l’entreprise d’assurer son équilibre entre les besoins métiers et les coûts opérationnels en cas d’incident.

Le cloud n’est pas une tendance, mais la base de la digitalisation, affirme Eric Delgove, associé spécialisé en technologie chez Deloitte.

Softcom s’est engagé dans la certification Gold de Microsoft Azure en vue d’offrir aux responsables métiers la possibilité de lancer rapidement et sans complexité leurs projets de digitalisation.

Agir vite et de manière Agile en initiant un produit minimum (MVP), en s’affranchissant des contraintes d’infrastructure, en assurant un maximum de sécurité, tout en permettant ensuite une montée en puissance rapide et fiable, le cloud revêt définitivement plein d’avantages pour une société qui doit s’adapter aux attentes de son marché.

Cette expertise du Cloud, associée à la prise en compte des enjeux de sécurité et de protection des données vise autant l’efficacité des projets de transformation digitale qu’une approche éthique et responsable.

Pour aller plus loin et découvrir ce que le Cloud de Microsoft peut apporter à votre sociétié, retrouvez Sylvain Telley, responsable marché et Blaise Lugeon, Azure solutions & architect expert dans une série de mini vidéo.