Concrètement, le cloud Azure se présente comme une vaste palette de services: serveurs virtuels, domaine réseau, gestion de base de données, services de messaging… Selon ses besoins, l’entreprise peut donc picorer dans l’offre Azure pour mener ses projets-tests. Chaque service représente une brique technologique prête à l’emploi. A l’entreprise d’assembler le nombre de briques qu’elle désire. Mais aussi d’en enlever en cours de route, d’en rajouter ou de changer complètement de direction au fil du projet. Cette agilité a pour conséquence d’offrir une plus grande autonomie aux équipes de développement. En effet, elles peuvent se concentrer davantage sur la spécificité de leur métier et les besoins de ses clients sans se soucier de la mise en place d’une infrastructure qui se serait avérée lourde.

Mais quid de la sécurité?

Microsoft vient d’inaugurer deux centres de données en Suisse. L’un à Genève. L’autre à Zurich. L’objectif de ces ouvertures est donc de proposer aux sociétés et aux administrations suisses de garder leurs données critiques en Suisse tout en profitant des systèmes de réplication entre les deux datacenters afin d’assurer la continuité de services en cas d’incident. La sécurité est donc au cœur des solutions Azure. Microsoft investit d’ailleurs 1 milliard de dollars par année dans ce domaine.