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Au nom du bon sens nous évitons les règles que nous considérons comme castratrices pour notre organisation.

 

Nos sociétés dites évoluées ont pris l’habitude de tout légiférer au point où tout le monde semble complètement perdu dès lors qu’il n’existe pas de base légale. Et si d’aventure une exception non prévue par les textes devaient apparaitre, nous nous dépêchons d’imaginer la parade législative au cas très vraisemblable où la jurisprudence ne suffirait pas.

Si pour l’administration publique cela s’explique car rien n’est possible sans base légale, le Monde de l’économie privée peut quant à lui agir librement tant qu’il ne transgresse pas la Loi. Ceci dit, la fièvre réglementariste coule visiblement dans nos veines car tout est prétexte à la mise en œuvre de nouvelles règles dans l’entreprise.

Chez Softcom, nous considérons cette approche comme castratrice de notre organisation ! Et même si bien évidemment nous avons quelques règles essentielles, nous évaluons à chaque sollicitation la possibilité d’éviter d’en définir de nouvelles.

Nous partons en effet du postulat que dans un contexte très réglementé, face à un problème, un collaborateur va chercher la règle. A défaut d’en disposer, il va la réclamer. Dans le meilleur des cas, celle-ci sera adaptée à sa situation particulière mais elle pourrait tout autant ne pas l’être, et il pourrait tout de même l’appliquer puisque c’est la règle. Dans d’autres cas, la réglementation permet également de se cacher derrière la règle, voire de la détourner. Autant de situations négatives que nous résumons sous cette terminologie évocatrice qu’est la castration.

Nous privilégions dès lors le bon sens et avons une attente de force de proposition de nos collaboratrices et collaborateurs ; et le résultat de la réflexion est très souvent parfaitement adapté, créatif, et surtout beaucoup plus positif et motivant.

Une suggestion pour les constituants qui s’engagent dans une refonte de nos constitutions cantonales ? Et si vous commenciez par : Au nom du bon sens ?