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Notre société numérique exige un nouveau contrat de confiance pour accompagner l’évolution technologique.

Nous y œuvrons.

C’est d’abord l’aveu d’un problème. Face à des applications toujours plus curieuses, face à la démultiplication des scandales de vols de données, et face à la robolution grandissante de la société, pouvons-nous – en tant qu’individus – faire confiance aux entreprises et aux services à qui nous déléguons une part croissante de nos quotidiens d’hommes et de femmes connectés? C’est ensuite le constat d’un paradoxe: comment accompagner cette évolution technologique inéluctable, à la fois protectrice de la sphère privée des citoyen.ne.s et garante de la démocratie, face à des outils toujours plus gourmands en données personnelles afin de nous proposer des services performants?

Loin de la naïveté des débuts d’Internet, la confiance numérique est l’enjeu crucial de ce siècle. Le dossier médical du patient, l’identité électronique, le certificat Covid-19… les exemples de défiance de la population face à des solutions techniques, sous-traitées au secteur privé, accompagnant la transformation numérique de notre société sont multiples. Parce que la confiance est rompue? L’exemple de l’Estonie nous rappelle que cette confiance peut être restaurée.  Le pays balte a déployé en 2007 une technologie qui puisse satisfaire le besoin de pouvoir sécuriser une information numérique contre toute intrusion ou modification intempestive et ainsi de lui faire confiance. Aujourd’hui, l’Estonie est le seul pays à offrir des services gouvernementaux entièrement numérisés, qui ne nécessitent aucune interaction physique ou humaine.

Pionnière de l’e-gov, l’Estonie doit cette révolution à GuardTime qui, en partenariat avec l’entreprise de sécurité vaudoise SICPA et Softcom développe des solutions d’e-gouvernement allant plus loin que l’intégrité d’une transaction numérique. Car chez Softcom, nous sommes convaincus que le modèle estonien est applicable à la Suisse pour offrir aux citoyens et aux entreprises la possibilité de sécuriser un processus décisionnel ainsi que tout type de certificats, indépendamment de son format, papier ou numérique, comme un acte d’origine, un extrait de casier judiciaire ou du registre du commerce, un certificat vaccinal, grâce au service CERTUS®.

Softcom a d’ailleurs déposé des demandes de projet pour intégrer ces services dans sept cantons suisses. La responsabilité numérique concerne l’Etat, les entreprises, les citoyens, les politiques publiques. La sécurité, la protection de la sphère privée et la souveraineté des données sont au cœur de nos applications, afin de permettre aux autorités publiques de fournir en toute sécurité les services numériques attendus par les entreprises et la population. Le gage de la confiance.

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