C’est le nerf de la guerre de toutes les entreprises, administrations publiques et gouvernements cantonaux. Afin de réduire leurs coûts de fonctionnement, ces acteurs optent pour l’externalisation partielle ou complète de leur processus IT. Ils espèrent ainsi économiser et allouer ce budget supplémentaire au bon fonctionnement de l’entreprise. Très bien, mais où faut-il externaliser, car il existe plusieurs modèles? Citons d’abord l’offshore qui consiste à opter pour un prestataire basé dans un pays lointain comme la Chine ou l’Inde. Il existe aussi l’externalisation nearshore, où le prestataire se trouve dans un pays proche de l’entreprise. Pourtant ces deux options ne sont pas toujours les meilleures sources d’économies.
Pourquoi?
L’entreprise qui externalise ses services à l’étranger ne doit pas sous-estimer les éléments liés à la productivité, la formation, la qualité, les besoins supplémentaires en supervision et la protection de ses intérêts. De plus, le manque de compétences et connaissances métier de la ressource offshore et nearshore impacte directement l’expérience client et l’efficacité opérationnelle d’une entreprise. Ce point est particulièrement sensible dans la bonne gestion des projets IT. La raison est toute simple.