La sous-traitance agile de Softcom, une vraie valeur ajoutée pour les administrations publiques
Afin de contribuer à la transformation numérique des administrations publiques, dont le besoin de sous-traitance augmentent avec les projets de cyberadministration, Softcom développe depuis plusieurs années un modèle inédit de collaboration agile avec ses clients. Une solution inédite qui s’affranchit de la relation «client-fournisseur» et génératrice de valeur.
Aucun secteur n’échappe aux impacts des technologies du numérique. Cette évolution inéluctable vers davantage de connectivité, de services plus performants et d’une meilleure efficience des processus internes pour ne citer qu’eux, implique une nécessaire transformation. Les PME comme les multinationales et les administrations publiques ont toutes compris l’exigence de changement pour sauter dans le train du numérique. Mais cette mue ne se fait pas sur un pied d’égalité.
Qu’elles soient communales, cantonales ou fédérales, les administrations publiques répondent par exemple à plusieurs contraintes règlementaires, mais aussi à des spécificités liées à leur écosystème (métiers particuliers, collaborations intercantonales, normes, sécurité, conformité). Ces particularités peuvent être des freins à l’innovation dans la mise en place d’une cyberadministration performante et efficiente. Elles exigent surtout davantage d’agilité dans la conduite des projets.
Soutenir les cyberadministrations avec agilité
Selon les projets de numérisation, il arrive parfois que les ressources humaines manquent. D’où l’importance pour une administration de pouvoir s’appuyer sur un partenaire externe de qualité avec une connaissance approfondie des politiques publiques. Mais comment tirer le meilleur profit de cette sous-traitance afin d’accompagner la transformation numérique des administrations? Depuis plusieurs années, Softcom développe une méthode et des processus agiles qui allouent des ressources spécifiques et évolutives aux administrations, selon leurs besoins à toutes les étapes de leur projet de numérisation.
Ce modèle de sous-traitance s’affranchit de la relation «client-fournisseur», puisqu’il implique une étroite collaboration des équipes. Une vraie plus-value pour le client. L’un d’eux a tenu à partager son expérience. Il s’agit d’une administration publique romande. Dans le respect du processus d’attribution des marchés publics toujours en cours, nous ne sommes pas autorisés à la citer. Néanmoins, elle a bien voulu lever le voile sur sa collaboration avant-gardiste avec les équipes de Softcom.
Nouveaux modèles de sous-traitance
Au sein de cette administration publique romande, Monsieur S. gère une équipe de huit personnes dédiées à la maintenance de l’information dans des projets de cyberadministration: «Nous gérons et développons un certain nombre de prestations en ligne. Dans ce cadre-là, et dans le contexte de la crise sanitaire actuelle, nous avons dû absorber des pics de charge dû à une plus grande fréquentation de nos services, explique le responsable. Par conséquent, nous avions besoin d’augmenter notre capacité de production de maintenance. Notre équipe interne étant limitée, nous avons pris la décision de confier un certain nombre de nos briques de maintenance à des prestataires externes.»
Voilà pour le contexte. Dans la pratique et la mise en œuvre de ses besoins, Monsieur S. se tourne très vite vers Softcom. La raison? «La culture qui transparaissait de leur offre nous semblait proche de la nôtre. A savoir une grande attention portée aux personnes et aux ressources plutôt qu’au profit. De plus, Softcom fait preuve de beaucoup d’agilité. Tous ces points communs entre nos deux équipes génèrent une certaine confiance.» Monsieur S. est un habitué de la sous-traitance. Son administration confie régulièrement des mandats à l’externe.
Symbiose des équipes
Mais avec Softcom, il expérimente un modèle de collaboration inédit: «Softcom a su mettre en place une équipe qui soit très proche de la nôtre, souligne-t-il. C’est-à-dire qu’ils ont su mettre en place à l’interne de Softcom un dispositif identique au nôtre afin de créer un lien intime avec notre équipe. Cela a permis de travailler dans la transparence et une confiance totale. Les équipes se soumettaient en continu les résultats et les développements en cours. Puis elles mettaient en place entre elles un processus d’examination par les pairs avant validation. Cette symbiose entre les deux équipes nous a permis de faire un travail de proximité de meilleure qualité. Et ce, malgré le contexte particulier de la pandémie.»
Monsieur S n’en fait pas mystère; «ce modèle est très clairement nouveau pour nous. Nous avons réussi à installer une relation particulière et gagnant gagnant avec Softcom. Pour mes équipes également. Elles ont pu expérimenter de nouvelles façons de travailler. J’ai rarement vu dans ma carrière une telle proximité entre une entreprise externe et son client.» Autre avantage de cette symbiose, «la montée en compétences s’est faite très rapidement. Les prestations fournies par Softcom sont de très bonne qualité. De plus, nous gardons la compétence en interne de ce qui est développé par Softcom. Si un jour nous devions reprendre la main, nous aurions toute la capacité de le faire, car nous savons exactement ce qui a été fait.»
